ISBN 978-2-916551-24-1
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Le 5 est un nombre d'une importance capitale dans notre univers : cinq doigts, cinq sens, cinq continents et cinq livres bibliques. Ce roman est une pentafable à cinq personnages : Antoine, Catherine, Tonio, Sarah et le Gri-gri, un mystérieux dodécaèdre qui va influencer la vie des héros et, qui sait, peut-être... la vôtre.
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Cinq, une pentafable
Le 5 est un nombre d'une importance capitale dans notre univers : cinq doigts, cinq sens, cinq continents et cinq livres bibliques. Ce roman est une pentafable à cinq personnages : Antoine, Catherine, Tonio, Sarah et le Gri-gri, un mystérieux dodécaèdre qui va influencer la vie des héros et, qui sait, peut-être... la vôtre.
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Né à Besançon, au pied des ruines de Montfaucon, il découvre de surprenants fossiles de l’ère secondaire et décide de vouer sa vie à la Science et aux calculs mathématiques. À 27 ans, il travaille dans un ministère du gouvernement péruvien, à Lima. Il a écrit une dizaine de romans sans chercher vraiment à les faire publier, jusqu’en 2009 où son premier ouvrage sort enfin.
CINQ, UNE PENTAFABLE (Les éditions Rebelyne - 2011)
LES TROIS VIES DE MARIA (Edilivre – 2009)
LAURE ET LES LOUPS (Edilivre – 2009)
Le marché de Noël
Le marché de Noël battait son plein. Les baraques de bois avaient envahi les ruelles et les places du centre, environnées d’une constellation d’étoiles et de guirlandes lumineuses. Les touristes et les badauds se bousculaient autour des échoppes de gaufres, de vin chaud, de Pères Noël en pain d’épice et de Spritzbredle. On en oubliait le froid et le ciel brumeux de l’hiver. La cathédrale dominait les rues avoisinantes de sa beauté grandiose, et ceux qui levaient la tête pour l’admirer restaient figés par l’émotion, le souffle court, au milieu du va-et-vient de la foule.
Docilement, Antoine se laissait porter par le courant des visiteurs. Il s’intéressait à tout, sans s’attarder sur rien. Il regardait à droite, s’arrêtait un instant à gauche, se mêlait aux groupes de curieux agglutinés devant certains stands. Il s’imprégnait du spectacle de toutes ces enluminures, souriait de l’étonnement des enfants, écoutait au passage le boniment des marchands, s’enivrait
du brouhaha des conversations. L’ambiance était féerique.
Il s’était installé à Strasbourg quelques mois plus tôt. Il avait été engagé par une petite société d’ingénierie basée en banlieue. C’était son premier emploi. Il avait emménagé dans un appartement, au premier étage d’une maison située rue du Kirchfeld, à deux pas de la forêt et du parcours de santé d’Ostwald. Les propriétaires habitaient au rez-de-chaussée. Ses collègues de
travail l’avaient aidé à s’installer et avaient facilité ses premiers pas dans la ville, en lui indiquant les bonnes adresses, les particularités locales, les habitudes à prendre. D’abord surpris de découvrir que beaucoup de gens de son quartier parlaient entre eux le dialecte alsacien, il s’était vite habitué à la chaleur de leur accueil. Les propriétaires étaient deux bons vieux avec lesquels il avait immédiatement sympathisé.
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